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Stéphan Guérin-Tillié

Dans la cour des grands. L’expression résonne doublement pour Stéphan Guerin-Tillié, puisque c’est le titre d’un film où il tourna, au début de sa carrière d’acteur, sous la direction de Florence Strauss. Mais aujourd’hui, à l’heure où sonne la rentrée, que la prestigieuse scène du Théâtre Hébertot accueille son travail et que des comédiens de grand renom l’accompagnent dans l’aventure, il s’agit aussi pour ce jeune metteur en scène d’un tournant décisif dans une carrière pourtant déjà riche de collaborations et de créations au cinéma ou à la télévision.

Pour le grand écran, il tourne notamment avec Jean-Paul Lilienfeld (Quatre garçons pleins d’avenir, 1997, H. S. Hors Service, 2001), Anne-Marie Étienne (Tôt ou tard, 2000), Olivier Megaton (La Sirène rouge, 2002), Steven Suissa (Le Grand rôle, 2003, Cavalcade, 2004) ou encore Éric Guirado (Le Fils de l’épicier, 2006). À la télévision, il joue sous la direction de Gilles Behat, Josée Dayan, Éric Woreth, Jean-Louis Lorenzi, Jean-Denis Robert, Jérôme Foulon, Chantal Picault, Renaud Bertrand, Laurent Dussaux, Rémi Burkel, Claude-Michel Rome, Bertrand Renaud, Philippe Setbon, Arnaud Selignac, Christian Faure.

La fréquentation des plateaux lui donne vite des envies de réalisation. Il débute avec deux courts-métrages, J’ai fait des sandwiches pour la route (1999) et Requiem (2001), avec, entre autres, François Berléand, qu’il retrouve pour son premier long-métrage, Edy (2004) où il s’entoure aussi de Philippe Noiret, Marion Cottillard…

Au théâtre, il travaille dès 1991 avec Angéline Charmey (La Punaise de Maiakowski), Philippe Lipschitz (Britannicus de Racine), Jean-François Rémy (Saul de Tarse de Oscar Vladislas de Lubicz Milosz), Raymond Aquaviva (Dancing d’après Xavier Durringer), Françoise Petit (Samedi, dimanche et lundi de Eduardo de Filippo), Thierry de Peretti (Une envie de tuer sur le bout de la langue de Xavier Durringer), Jean-Marie Besset et Gilbert Desvaux (Baron de Jean-Marie Besset).

Son travail de mise en scène est plus récent, mais est rapidement remarqué. Il monte Les Heures blanches de Dostoeïvski, et, très récemment, Pouchkine, le journal secret au Théâtre du Marais, avec Manuel Blanc.

O. C.

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