Au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'industriel Hermann Kolb est ruiné. Pourtant, la montée du national-socialisme et l'ouverture des camps sont une aubaine pour lui et ses salariés. Ils remportent un premier marché: celui du crématorium de Magdebourg. Comment améliorer les techniques d'incinération? Comment évaluer la durée de crémation des corps pour fabriquer les meilleurs appareils? La firme Kolb réussira à être présente dans chaque camp de concentration et d'extermination qui ouvre... Des années après la guerre, les acteurs de cette destruction massive réalisent-ils leur aveuglement et leur participation active au crime?
Ce texte a reçu le soutien de l'Association Beaumarchais pour l'édition
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