
Un riche industriel milanais observe avec désarroi son fils devenir un homme, symbole de son propre déclin. Plus son fils veut prendre son indépendance, plus il veut le retenir prisonnier, l’humilier, le détruire. Lui qui était religieux par tradition embrasse le mysticisme et la maladie s’empare de son âme, précipitant la catastrophe. Le mythe d’Œdipe s’inverse. Le père tue le fils…
Éditorial:
Tuer le fils, par Olivier Celik
L’affiche du spectacle
Le texte de la pièce
Commentaires:
- Le théâtre de Pasolini ou le pendu qui parle,par Hervé Joubert-Laurencin
- «Éternel retour» Entretien avec Stanislas Nordey, par Olivier Celik
- Brûlures d’une langue, par Jean-Paul Manganaro
- Stanislas Nordey, le corps-chant, par Frédéric Vossier
L’actualité:
- La quinzaine de Gilles Costaz
- À l’affiche à Paris, par Jacques Farnèse
- L’agenda
- Lire : la sélection de L’avant-scène théâtre
- Marie Cariès (Mère)
- Raoul Fernandez (Ombre de Sophocle)
- Thomas Gonzalez (Fils)
- Anaïs Muller (Jeune fille)
- Stanislas Nordey (Père)
- Véronique Nordey (Nécromancienne)
- Thierry Paret (Prêtre, Commissaire, Médecin, Mendiant)
Si vous souhaitez des infomations complémentaires sur cet ouvrage, n'hésitez pas à nous envoyer votre demande via notre formulaire de contact.