Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée: La Marquise refuse le badinage du Comte, son voisin et amoureux transi. Elle demande qu’on s’adresse à son intelligence et exige la sincérité des sentiments. Elle se méfie du désir et de l’inconstance des hommes, au risque de passer à côté du véritable amour. Le Comte, lui, exalte la beauté et la grandeur de l’amour malgré les faiblesses de la gent masculine.
Je ne veux pas me marier: La veille de son mariage, Vivien, une jeune femme prof de maths, aurait préféré que son promis, Tigrane, un brillant jeune financier, ne lui rende pas visite. Leur discussion d’avant mariage tourne à la veillée d’armes. Elle voulait réfléchir seule, il la pousse dans ses retranchements. À quoi riment cette cérémonie et cette institution si anciennes, pour un couple d’aujourd’hui, moderne et libéré ?
Éditorial:
Du poème à la prose, par Olivier Celik
L’affiche du spectacle
Les textes des pièces
Commentaires:
- De l’amour au mariage, par Jean-Marie Besset
- La transparence du tulle…, par Jean-Marie Besset
- Une scénographie en noir et blanc, par Gérard Espinosa
- Musset, maître du proverbe dramatique, par Sylvain Ledda
- Scènes de mariage, par Gilles Costaz
- Le Théâtre des 13 vents
Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée:
- Bénédicte Guilbert (La Marquise)
- Clément Bertani (Le Comte)
Je ne veux pas me marier
- Pascal Rénéric (Tigrane)
- Chloé Olivères (Vivien)
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