Là où je croyais être il n'y avait personne

Auteur(s)

Ces esprits singuliers sont de fins lettrés qui ont une haute ambition de la scène. Ils écrivent des histoires insolites et sophistiquées, les aventures d’Ange, c’est Anaïs, et Bert, c’est Bertrand. Ils ont ironiquement nommé leur projet : « Les Traités de la perdition. »

14,00 €

Là où je croyais être il n'y avait personne. © Charles Chauvet

Le livre

Résumé

Perdu au milieu de nulle part, il y a un bal. Dans ce bal, il y a Bertrand et Anaïs. Ils sont à̀ la recherche d’une idole et la trouvent en la personne de Marguerite Duras, qui semble habiter ce bal déserté. Petit à petit, les fantômes surgissent et sur les traces de l’écrivaine, Anaïs se perd au point que Bertrand se demande si la jeune fille n’est pas en réalité Marguerite. Ils écrivent alors tous deux une histoire, à̀ la manière de leur idole : l’histoire d’une amoureuse, Donna, qui n’arrive pas à mourir d’amour et qui va tout risquer jusqu’à tenter l’inconcevable, la perte totale de son identité…

Sommaire

Avant-propos:
Ange et Bert, de très bonne compagnie, par Armelle Héliot
L’affiche
Le texte de la pièce
Commentaires:
À la recherche de Marguerite Duras, par Armelle Héliot
Sur un fil, entretien avec Anaïs Muller et Bertrand Poncet, par Armelle Héliot
Un duo étonnant et détonnant, par Stanislas Nordey
Variations durassiennes, par Anne Cousseau
Le deuxième degré de la fiction, par Gilles Costaz
L’actualité:
- Pièces à l’affiche :
Julie de Lespinasse, Théâtre national de Strasbourg, par Armelle Héliot
Zaï zaï zaï zaï, Comédie de Paris, par Jacques Nerson
- Enquête : Kirill Serebrennikov : Un pope en Avignon, par Jean Talabot
- L’agenda
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- Les rendez-vous du Poche-Montparnasse:
Weber Molière Marthouret, par Jean Talabot