
Mauvaise farce, tragédie lucide, dystopie joyeuse… L’homme qui dormait sous mon lit esquisse un monde parfait où une prime d’indemnité serait allouée aux citoyens responsables qui hébergent un réfugié, où une récompense supplémentaire leur serait accordée au cas où ledit réfugié, poussé à bout, se suiciderait, sans faire de tache. Zéro culpabilité. Parce qu’un bon migrant est un migrant qui se suicide, proprement, sans engager la responsabilité de la France, de l’Allemagne ou de l’Italie. Mais on compatit, naturellement. On n’est pas des chiens…
Dans la mise en scène de Pierre Notte :
- Muriel Gaudin (La dame)
- Silvie Laguna (La modératrice)
- Clyde Yeguete (L'homme)
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